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L’invention de l’imprimerie

 
 

Pendant tout le Moyen Âge, on a reproduit les livres à la main, d’où leur nom de manuscrit. C’était la spécialité des moines copistes qui écrivaient sur parchemin en caractères très soignées, et qui illustrant souvent le texte de dessins en fines couleurs. Certains manuscrits sont de véritable ouvres d’art. Mais, le travail était lent, les livres était rares et couteux.



Au Moyen Âge, les copistes et enlumineurs passaient de nombreuses heures à réaliser des pages décorées avec une précision remarquable



On commence par reproduire des pages entières gravées sur des planches des bois. Bientôt, on fabrique en bois des caractères mobiles serres dans un cadre pour composer la page, mais les caractères s’usent vite. Alors, on a l’idée de les fondre en un métal doux et résistant, et de mettre au point une presse a vis pour obtenir une production plus régulière et plus rapide.


Il est difficile de déterminer la part de l’Allemand Jean Gutenberg dans ces inventions successives. Ce qui est certain, c’est que c’est lui qui publie la première Bible imprimée vers 1450. En s’inspirant de la culture chinoise, on fabrique maintenant un papier de chiffons moins cher que le parchemin, ce qui abaisse le prix de livres rapidement. Les imprimeries se multiplient et l’instruction peut se répandre.


En plus d’assurer une diffusion plus large du savoir, l’imprimerie uniformise les connaissances en réduisant le nombre d’erreurs liées à la reproduction manuelle des textes. En mathématiques, l’invention de l’imprimerie a permis une plus grande accessibilité du savoir et un meilleur partage des nouvelles connaissances au sein des milieux scientifiques.


 
   

Sources:


http://manuelsanciens.blogspot.ca/2013/07/la-renaissance-et-les-temps-modernes-du.html

http://www.lignedutemps.qc.ca/t3298/lecture

http://www.maxicours.com/se/fiche/3/6/276036.html

 

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