Ce fait est bien connu en général et on peut le voir à l'oeuvre, par exemple, lorsqu'on demande la mesure de la hauteur d'un triangle équilatéral.
Ce choix est difficilement contestable, car toute tentative de calculs exacts (comme cela se fait dans les logiciels de calcul symbolique tels Derive, Maple et Mathematica) se soldera par une indécidabilité peu compatible avec des figures dynamiques.
En conséquence, dans ProEuclide, les calculs se feront aussi à l'aide d'approximations décimales.
Il faudra cependant être attentif aux conséquences de ce choix, que ce soit sur l'existence même d'objets (exemple : les points d'intersection d'objets tangents) ou sur la vérification de propriétés. Nous y reviendrons.